L’ivresse de la haute voltige

Je sais toutefois que les raisons de ce sentiment de coït interrompu n’étaient pas celles que je croyais. Je voulais plutôt retrouver le plaisir de dire les mêmes mots, mais 20 ans plus tard, avec une expérience de vie suffisante. — Marc Labrèche

STEVE BERGERON steve.bergeron@latribune.qc.ca
Théâtre


SHERBROOKE — On l’a dit, redit et on le répète : que le Centre culturel de l’Université de Sherbrooke reçoive Les aiguilles et l’opium pour un soir seulement est un événement exceptionnel, étant donné les trois journées et demie de montage nécessaires...

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